La station est ouverte !

par Robert et Aimée ~ 13 janvier 2010. Classé dans: jardin, Maison, Neige, Promenades.

Dès le matin, magnifique panorama aux couleurs irréelles.

Nous sommes à nouveau sous le charme de ces paysages magiques.

Papa Noël nous a apporté des raquettes, de belles balades nous attendent !

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3 Réponses à La station est ouverte !

  1. martine

    Très bonne idée les raquettes !
    On vous espère en forme ! passez un bon hiver et …
    A bientôt sous d’autres latitudes!
    (http://monpichetmignon.canalblog.com/)

    On vous embrasse !

  2. Blog_trotter

    J’adore cette petite lumière d’hiver et ce décor familier qui n’est pas sans me rappeler quelques peintures naïves qui me faisaient rêver, enfant, à des heures paisibles, rassurantes, pleines, accrochées dans le salon de la maison de ma marraine sise dans les beaux quartiers d’Auxerre. Puis je la rejoignais près de la cuisinière où crépitait des buchettes de charme, de chêne et d’acacia…
    Et l’on entamait une partie de Jacquet sous l’unique lampe qui éclairait dans son cercle parfait la table ronde de la cuisine. Lorsque dix-neuf coups sonnaient au carillon du salon je dressais la table tandis qu’elle s’affairait du côté de « la Rosière ». Puis elle allumait le poste posé sur le buffet années trente et j’étais fasciné par le grossissement de la lumière verte qui indiquait que toutes les lampes du poste fonctionnaient. Nous écoutions plusieurs feuilletons radiophoniques sur Radio-Luxembourg. C’était « L’homme à la voiture rouge » ou bien « Sur le banc » avec Raymond Souplex et Jeanne Sourza.
    Le repas achevé, nous jouions « à la bataille » puis, passé vingt et une heure, Claire m’envoyait au lit. Je quittais la cuisine en traversant le couloir sombre comme une fusée craignant d’y croiser quelques fantômes. Je prenais soin de me laver les dents dans la salle de bain attenante à ma chambre puis je me jetais sous les draps et l’édredon du lit bateau en évitant le regard du soldat qui me fixait dans la grande photo encadrée suspendue juste en face de mon lit. Parfois, je tirais à toute berzingue la couverture par dessus ma tête afin de fuir les yeux perçants de Georges, frère de mon grand-père, dans son costume de Saint-Cyrien, mort deux ans après 1918 des suites d’un gazage de la tranchée qu’il commandait sur les hauteurs de Verdun. (Spéciale dédicace aux « Lorrains »)

  3. La Tarente

    Salut Philippe,

    Très tendres ces souvenirs d’enfance.
    Je suis très heureuse que ces images aient provoqué ce joli texte.
    Immédiatement,je me suis projetée dans ta maison familiale.
    J’imagine son magnifique jardin et ses vieux arbres sous le manteau neigeux.
    Merci pour ce moment de douce émotion.

    Très très bonne année 2010.
    Aimée

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