Un ange passe à la Volpilière
par Robert et Aimée ~ 5 février 2013. Classé dans: Surprises.Quand la poésie vient nous faire frissonner de plaisir !!!
C’est avec beaucoup d’émotion que je rédige cet article. En effet je suis baignée dans le « monde poétique » de Arlette Denis, auteur, compositeur, interprète qui a séjourné à la Tarente pendant deux jours.
Non seulement elle aime notre région, mais elle lui a dédié un texte splendide sur une musique poignante qui nous donne la chair de poule :
Ecouter « Si Dieu habite quelque part »
Album Mon alternance , chanson n°11 (hommage à la Lozère)
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5 février 2013 à 13:55
Je vois que la ballade de mon amie Arlette sur le causse a semé des graines de poésie. J’en suis heureuse pour elle et pour votre Tarente que je ne connais pas encore mais que j’irai visiter cet été, avec, sans doute, un peu de mélancolie car j’ai habité 17 ans à La Volpilière ! J’y ai laissé tant de souvenirs, tant d’amis ! Et ma petite maison à l’entrée du hameau… Arlette n’a pas tort : le causse contient une parcelle divine. Si vous le souhaitez, je peux vous faire parvenir mon recueil de poèmes, intitulé » Drailles » et entièrement consacré à la région.
Comme quoi, la Lozère inspire les artistes ! Cordialement vôtre. Bises à Laure, Pascale, Sylviane, Théo, Yvette et les autres…..
5 février 2013 à 15:26
bonjour, je suis une admiratrice de Arlette Denis, je connais très bien tous ses albums…et même si je ne connais pas la Lozère, chaque fois que j’entend cette magnifique chanson, j’ai des frissons…….comme chaque fois qu’elle chante d’ailleurs!!!!!!c’est un pur bonheur chaque fois, elle est une GRANDE dame, une ARTISTE, une POETESSE……les domys de Calais(62)
7 février 2013 à 2:29
Enfin, cette magnifique chanson est arrivé en Lozère !
Arlette Denis, est une des plus grandes artiste-poète de ce temps.
Ses chansons sont des sculptures sonores qu’elle sait si bien mettre en relief, à la lumière de son génie. Arlette est une magicienne, aussi puissante qu’un ouragan , aussi naturelle que l’eau d’une rivière quand elle fait chanter les rochers. Ses mots, sa voix ouvre la porte étroite de nos coeurs fatigués de tant de bruits inutiles.
Quand j’écoute Arlette, j’oublie tout, je suis là, juste là, ouverte comme une cathédrale un dimanche d’été. Arlette, ange et démon à la fois tu es la plus humaine des humains que j’ai rencontrés.
Merci d’exister, mon amie, sans toi la vie n’aurait vraiment pas le même goût. Clo ta fidèle, qui sera toujours là pour toi. (y a qu’à sonner !)